La guerre en Ukraine est à ajouter à la liste des guerres et autres crises économiques qui ont entraîné une forte hausse du prix du pétrole et du gaz.
Pour autant, la sortie des énergies fossiles, responsables en grande partie du réchauffement climatique, ne semble toujours pas une option sérieuse.
Quels choix ont entraîné une telle dépendance ? Et est-ce possible de les remplacer par des énergies décarbonées pour produire, se déplacer, se chauffer ? Ou la sobriété sera-t-elle la seule voie imaginable pour sauver le climat ?
Valérie Quiniou-Ramus, directrice exécutive de la prospective et de la recherche à l’ADEME
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