Un nouveau challenge s’offre au chef pâtissier du Pressoir d’argent
Gaëtan Fiard
Il ravit les amateurs de pâtisseries fines que l’on a plaisir à déguster dans un cadre raffiné,
typiques des salons parisiens du XVIIIe siècle.
Le sucré ça fait du bien », déclare le propriétaire du Grand Hôtel de Bordeaux,
Lieu, décor raffiné, mobilier sobre et cosy, tous les ingrédients sont réunis.
l’essence d’un salon de thé avec la délicatesse de la haute pâtisserie qui revisite le boudoir sous toutes ses formes.
un lieu incontournable de la ville où chacun pourra créer quelques jolis souvenirs », détaille Thomas Bourdois, directeur général de l’Intercontinental.
Mais il y a également « une ambition mondiale », souligne le propriétaire Michel Ohayon, qui désire relancer le boudoir et en faire un incontournable au même titre que le canelé ou le macaron.